Loïc Tellier a démarré sa carrière artistique par le dessin sous toutes ses formes : qu’il s’agisse d’une décoration de vitrine, d’une fresque murale, d’un dessin de presse ou bien d’une illustration pour enfants. Il a ensuite passé un CAP en métallerie, ce qui lui a permis de travailler également le médium de la sculpture, sans pour autant s’éloigner de l’univers de la bande dessinée qui l’inspire beaucoup. Si le métal reste son matériau de prédilection, dans ses sculptures, il peut faire appel à différentes matières telles que le fer, le verre ou bien la terre, souvent des matériaux récupérés.
Son travail, empreint de poésie s’inscrit dans une démarche de démocratisation artistique, donnant le rôle principal à la personne qui regarde l’œuvre, qui peut ainsi se l’approprier. L’œuvre vit alors au travers de celui qui la regarde, changeant en fonction de l’interprétation de chacun.
C'est très pénible de peigner une girafe. Surtout sans échelle... Madame Girafe et ses deux girafons dansent. La girafe, est utilisée par Rosenberg comme symbole de la communication non violente. C’est l’animal qui proportionnellement, a le plus grand cœur. Grâce à son long cou, elle élève sa vision, ce qui lui donne la possibilité de prévoir ses actions à plus long terme.
Elle nous accompagne vers le chemin de la résilience pour être en capacité d’affronter les difficultés futures.
Projet en acier peint avec pour grande partie du matériel de récupération local.
Traitement graphique à la Toons. On traverse une forêt de pattes pour ressortir dans la plaine fleurie. Ou bien l'inverse pour y découvrir les petits jardins…